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Naissance du Centre Dalse

D’où vient le nom Dalse?
Saviez-vous que le nom du casse-croûte du Douglas vient d’un organisme communautaire montréalais appelé le Dalse Welfare Club? Ou que Dalse est l’acronyme des mots «Devotion, Altruism, Love of Mankind, Service to Community et Effectiveness»?

Depuis plus de 40 ans, les bénévoles du Dalse divertissent les patients, offrent des plats cuisinés à la maison et organisent des réceptions à l’occasion de la Hanoukka, pour les patients juifs.

En 1960, le club a fait un don de 25 000 $ pour la construction d’un centre de services pour les patients au sous-sol de la Salle Douglas. On y retrouvait le casse-croûte Dalse, le surplus de vêtements, où les patients pouvaient acheter à bon prix des vêtements donnés, et le Magasin du coin où d’autres articles les attendaient. On y trouvait également un salon de beauté et un barbier. Le centre devint rapidement le carrefour social de l’Hôpital, tant pour les patients que pour le personnel.

En 1987, le surplus de vêtements et le Magasin du coin ont fusionné et ont déménagé, comme le casse-croûte Dalse, au pavillon Newman. Le nouvel emplacement n’était pas aussi central que le sous-sol de la Salle Douglas. Pour compenser ce désavantage, le casse-croûte a commencé à livrer des repas aux unités et aux bureaux, en recrutant des patients externes comme livreurs.

Formation pour le monde réel
Lorsque le surplus de vêtements a ouvert ses portes en avril 1961, les bénévoles ne pouvaient pas recevoir une formation spéciale pour servir les clients. En effet, le surintendant médical, Charles A. Roberts, M.D., voulait que le magasin reflète le monde réel.

Selon la deuxième présidente des Auxiliaires-bénévoles du Douglas, Helen Alexander, cette règle valait également pour le casse-croûte Dalse : «Les patients devaient demander et payer les articles qu’ils voulaient. Il leur fallait interagir avec des gens de l’extérieur pour [acheter] une tasse de café.»

Au surplus de vêtements, les patients payaient leurs emplettes, un choix qui a troublé certaines personnes au début, explique Mme Alexander: « On nous a parfois critiquées de vendre […] des vêtements qui avaient été donnés. […] Nous avons dû être très fermes sur ce point. […] Cela donnait [aux patients] une certaine fierté, un […] sentiment d’indépendance, et la transaction elle-même était bonne pour eux […] Une partie du monde extérieur avait pénétré leur isolement.»

 
 
 
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