Untitled Document
» English
accueil
Pour nous joindre
Chroniques historiques
Profils ouverts d esprit
Livres du 125eme
Accueil
 
Untitled Document

Les fondateurs

Le financement

Les patients

Le personnel

Les « premières » du personnel

Un emploi du temps bien rempli

Vers l’égalité entre le personnel

Des conditions parfois difficiles

Pendant la Seconde Guerre Mondiale

Le personnel infirmier auxiliaire

Être psychiatre en chef

Les services

La recherche

Le bénévolat

   
   
 
   
   
   
Le financement
 

Par Mimi Israël, Chef du département de psychiatrie, Hôpital Douglas

Je me suis souvent demandée ce que c’était que d’être psychiatre en chef à l’Hôpital Douglas lors de ses débuts. À l’heure où nous nous débattons avec des directives ministérielles qui vont transformer entièrement la prestation des soins de santé mentale au Québec et où le Douglas relève le défi de compléter sa transformation d’asile à institut, j’imagine la simplicité de ces époques révolues et je me demande si j’ai écopé de la responsabilité de guider le Douglas à travers son étape la plus complexe. Ayant reçu ma formation à une ère axée sur des valeurs scientifiques, j’ai senti le besoin de valider mon impression en jetant un coup d’oeil sur l’histoire de Douglas de la perspective d’un psychiatre en chef.

Si j’avais été psychiatre en chef entre 1890 et 1923.
Si j’avais été psychiatre en chef de 1923 à 1947.
Si j’avais été psychiatre en chef de 1947 à 1965.
Si j’avais été psychiatre en chef de 1965 à 1994.
Si j’avais été psychiatre en chef de 1995 à 2001.

 

Depuis qu’elle s’est jointe à l’Hôpital Douglas en 1998, Mimi Israël s’est positionnée comme chef de file en améliorant les conditions de vie des patients.
 
 

Untitled Document Tous droits réservés © Institut universitaire en santé mentale Douglas, 2009 | Avertissement
Affilié à l'Université McGill et Centre collaborateur OMS/OPS de Montréal pour la recherche et la formation en santé mentale